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Le professeur d’anthropologie a insisté sur l’importance de la technologie actuelle pour le travail de préservation de l’ADN et a expliqué comment le séquençage de l’ADN de différentes espèces de primates permet de mieux les classifier.
“On applique les techniques d’analyse d’ADN pour essayer d’identifier de nouvelles espèces ou sous-espèces, ou expliquer à quelles espèces ou sous-espèces appartient une population spécifique”.
Disotell ajoute qu’il est crucial pour leur conservation de nommer des espèces officiellement parce que jusqu’à ce qu’elles soient identifiées etles ne peuvent être protégées juridiquement.
Disotell utilise la technologie de séquençage secondaire pour comparer des organismes voisins et clarifier leur classification taxonomique.
Il a ajouté que même s‘il n’y a pas de prime abord de différence spécifique génétique qui permet de distinguer deux espèces, le sequençage génétique est une méthode utilisée par les chercheurs pour établir des classifications. Lors de ce processus, les chercheurs comparent la différence entre les deux espèces en question avec deux espèces identifiées et distinctes. Si la différence est plus grande entre les deux espèces étudiées que entre les deux espèces de comparaison, il en découle qu’il est probable qu’elles soient d’espèces différentes.
Les échantillons de Disotell test les échantillons d’ADN animal à distance pour éviter le contact primate-humain.
Sharon Ng, une jeune scientifique dans la recherche au Centre pour la Science Neuronale à l’Université de N-Y, déclare qu’elle a été étonnée par les méthodes de Disotell.
“Il est étonnant de découvrir combien d’espèces peuvent être pistées et découvertes seulement en extrayant et en échantillonant l’environnement autour de nous”.
Disotell montre sa passion et son savoir du séquençage d’ADN des primates dans “10 Million Dollar Bigfoot Bounty », une émission de télévision qui se focalise sur les recherches d’un hominidé velu appelé Bigfoot qui vit dans les forêts nord-américaines. Il a créé un laboratoire portatif dans lequel il séquencie l’ADN d’échantillons biologiques recueillis et a constaté que la plupart d’entre eux provenait d’ours.
Christina Yeung, qui a participé à la discussion, dit que les recherches de Disotell démontrent que la technologie avance vite.
“Il est extraordinaire que la technologie nous ait amenés si loin et va à l’encontre de la croyance en la totale arnaque du bigfoot”, a dit Yeung. “Ce qu’ils ont au “Centre for Genomics and Systems Biology” est incroyable.”
Retrouvez l’article original : Washington Square News
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