Sasquatch 2016 : Sasquatchland
Dans les chapitres précédents je vous ai conté mon arrivée, la surprise de trouver le camp fermé et comment mes premières visites de terrain avaient été plutôt infructueuses.
Nous continuons dans ce chapitre nos check-up des lieux qui nous avaient confortés dans le passé sur la présence d’une population de Bigfoots.
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10-05
Je retourne aujourd’hui à « l’Etang-à-castor ».
J’ai envie de revisiter la zone que nous avions découverte en 2008 et que nous avions baptisée « Sasquatchland » en raison des nombreuses structures que nous y avions relevées.
Je traverse le barrage qui ferme l’étang artificiel.
Ce que je découvre me surprend : les « structures » sont écroulées ou cassées, les perches avec lesquelles elles ont été bâties sont sèches. Tout paraît à l’abandon depuis longtemps.
Sur la raison de cet état, je ne peux faire qu’hypothèses.
La rive de l’étang est apparemment beaucoup plus fréquentée par les humains qu’en 2008 et des indélicats ont assez bien abîmé l’endroit en y laissant des détritus et en a abattant plusieurs arbres.
Est-ce cette activité qui aurait perturbé les Sasquatchs et les auraient obligés à recréer un nouveau « Sasquatchland » à 500 m de là, dans une zone moins perturbée ? C’est une hypothèse que je n’écarte pas.
11-05
Aujourd’hui je suis retourné à l’Etang-à-Castor.
J’ai photographié la pierre sur le tronc et des structures le long du chemin.
Je remarque une seconde, plus petite. Était-elle déjà la auparavant ?
J’en profite aussi pour rephotographier les structures rencontrées le long du chemin une première fois en 2015.
12-05
Le camp est toujours fermé officiellement pour des raisons de conformité, mais ce soir, avec l’autorisation du gestionnaire, je vais malgré tout y passer la nuit – seul – ce qui est peut-être une chance.
Aujourd’hui je suis retourné encore une fois dans la zone de l’étang-à-castor.
Alors que je commençais à monter le chemin vers l’endroit où se trouvait les pierres placées sur le tronc, j’entends un double craquement sur ma droite. Une branche qui tombe ?
Je me retourne et vois un ours noir (Ursus americanus) descendre d’un pin à une cinquantaine de mètres sur ma droite.
Je ne l’avais pas vu ! Lui, par contre m’a vu et sans doute senti (les ours ont un odorat hyper-développé).
Il n’est pas bien gros, cet ours, sans doute un ado.
Il s’éloigne vers l’étang avec précipitation.
Trop loin pour pouvoir bien le filmer ou le photographier.
Moi je continue mon chemin de mon côté.
Pas de nouvelles de nos amis velus.
13-05
Je décide d’explorer une zone que je connais peu : la zone forestière autour du camp, de l’autre côté de la rivière.
J’y découvre ce qui pourrait-être une ancienne structure de petite taille, peut-être un nid.
C’est le seul soupçon de présence possible, mais je remarque que de là on peut observer une partie du camp et y entendre les activités.
(A suivre : étranges manifestations)
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