Les dix meilleurs endroits en Russie pour tomber nez à nez avec un yéti
En dépit du fait que l’on considère que l’habitat naturel des yétis en Russie sont les forêts sauvages de Sibérie et les cavernes des montagnes de l’Oural, ces mystérieux bipèdes ont semble-t-il également été aperçus non loin de Moscou.
Le site Russia beyond dresse la liste de 10 lieux où l’on peutou pouvait croiser des « yétis ».
Remarquons que le terme Yéti est encore une fois utilisé abusivement, comme généralement dans la Presse, aussi bien en ce qui concerne les créatures de l’Himalaya que celles du Caucase, de l’Altaï, de l’Oural et de l’Amérique du Nord.
Le Dr Marie-Jeanne Koffmann m’a montré des photographies d’une piste d’Almasty provenant du Caucase : aucun rapport par exemple entre ces empreintes et les empreintes de Bigfoot/Sasquatch que l’on a relevées (et que j’ai vues-moi-même) en Amérique du Nord.
D’autres éléments distinguent les Yéti des autres Hommes Sauvages et Velus, mais revenons à l’article, globalement sérieux ….
1. La région de Tcheliabinsk
Les cueilleurs de champignons du Sud de l’Oural croisent régulièrement des yétis dans les forêts. Ils affirment que ces abominables hommes des neiges plient de robustes arbres comme s’il s’agissait de brindilles. On croit que les yétis possèdent des capacités hypnotiques et peuvent insuffler chez les hommes un sentiment de panique et de peur incontrôlées, les forçant à quitter immédiatement leur territoire.
2. Le village de Tchernakovka, région de Novossibirsk
Pendant longtemps les habitants de cette lointaine bourgade sibérienne ont été terrorisés à l’idée de sortir de chez eux. Un géant à la fourrure argentée apparaissait en effet dans différentes parties du village durant la nuit, effrayant la population et le bétail. Toutefois, personne n’a jamais été blessé.
3. La région de Kemerovo
De mystérieuses créatures sauvages faisaient fréquemment leur apparition dans les forêts de la région sibérienne de Kemerovo. On pense donc que les yétis quittaient leurs grottes pour se mettre en quête de nourriture. Pendant des années, les locaux, ayant cru que ces êtres étaient sacrés, les ont nourris en laissant des vivres dans les cavernes. Mais les anciennes générations ont peu à peu disparu et la tradition s’en est allée avec elles. La faim a alors forcé les yétis à s’approcher de plus en plus des habitations.
4. Le Nord de l’Oural
Si les résidents de la région de Kemerovo avaient pour habitude de laisser de la nourriture pour les yétis afin d’apaiser ces derniers, le peuple khanty, dans l’Oural polaire, préfère tout simplement s’en tenir éloigné. Non seulement les Khantys évitent par conséquent les lieux de vie de cet énigmatique « peuple de la forêt », comme ils appellent les yétis, mais s’efforcent également de ne pas les mentionner. Ils considèrent en effet que rencontrer un yéti dans un lieu désert des montagnes de l’Oural n’apportera rien de bon.
5. Le village de Souvodi, région de Kirov
Plusieurs larges empreintes de pas, n’appartenant pas à des hommes ou animaux connus, ont été découvertes dans cette localité du Sud de la Sibérie. En 2003, le chasseur local Boris Liberov aurait même fait la rencontre d’une femelle yéti accompagnée de ses petits.
6. La région de Moscou
Les yétis n’ont pas été aperçus uniquement dans les forêts inaccessibles de Sibérie. En effet, certains spécimens ont été surpris à proximité des grands centres urbains du pays. Valentina Titova, une institutrice d’un village de la région de Moscou, était par exemple en train de jardiner quand elle a vu un imposant abominable homme des neiges se déplacer près de sa grange, les mains en l’air. Terrifiée, elle s’est aussitôt précipitée le plus vite possible chez elle.
7. La Carélie
En 1989, une garnison militaire soviétique basée en République de Carélie a, à plusieurs reprises, reçu la visite d’un yéti. Les soldats ont ainsi témoigné avoir aperçu une géante silhouette blanche d’environ 3 mètres de haut et entendu un cri strident inhabituel en provenance de la forêt plongée dans l’obscurité. Ceux ayant réussi à distinguer les formes de la créature se sont par la suite plaints de fortes migraines et de fièvre.
8. Outchkoulan, République de Karatchaïévo-Tcherkessie
La vallée d’Outchkoulan, dans le Caucase du Nord, compte d’innombrables histoires à propos de yétis et de leurs interactions avec les hommes. Selon une légende, une jeune femme a par exemple été kidnappée par un yéti alors qu’elle se promenait dans la forêt. Lorsque son fiancé l’a finalement retrouvée, ensorcelée par la créature elle a refusé de le suivre. Le jeune homme les a, dans un excès de colère, alors tués tous les deux. Le yéti et sa promise ont ainsi été enterrés dans les bois. Lorsque leur sépulture a été ouverte par la suite, on y a découvert un squelette ordinaire de femme gisant près de celui d’un véritable géant.
9. L’Altaï
En 2003, le chasseur Alexander Semionov a trouvé un étrange corps piégé dans un glacier des montagnes de l’Altaï. L’une des jambes du cadavre sortait cependant de la glace. Elle était similaire à celle des hommes, mais entièrement recouverte de fourrure et dotée de longues griffes. Le membre a alors été envoyé à Moscou pour être étudié, mais y a énigmatiquement disparu, laissant le mystère planer.
10. La région de Tambov
Les soldats d’une base de la région de Tambov (418 kilomètres au sud-est de Moscou), ont un jour été les témoins d’une scène improbable : une femme a percuté en voiture un impressionnant yéti près du camp. Cet humanoïde, sans blessure apparente, se serait alors réfugié dans la forêt, contrairement à la conductrice qui n’a pas survécu à l’accident.