Quoi de neuf sur la Planète Crypto : une grenouille fluo, un « léopard » et une contestation
Découvert de grenouilles aux os fluos !
Au Brésil, des scientifiques ont découvert une nouvelle espèce de batraciens, dotés de os fluorescents.
Il existe environ 7 000 espèces de grenouilles dans le monde. En mars, des chercheurs ont découvert une espèce qui brille.
L’équipe a étudié deux espèces de grenouilles miniatures, appelées Brachycephalus ephippium. Ces spécimens mesurent entre 1 et 1,5 cm de long, soit environ la taille d’un ongle ! Ils vivent dans la forêt amazonienne, sur la côte est du Brésil. C’est là que les scientifiques ont fait une incroyable découverte.
Les chercheurs voulaient en savoir plus sur la manière dont ces grenouilles se reproduisent. Ils savaient qu’elles émettaient un chant particulier pour trouver leur partenaire. Mais avaient-elles d’autres stratégies pour attirer l’âme sœur ?
Les scientifiques ont utilisé un outil qui émet de la lumière à rayons ultraviolets (UV)
Lorsque les chercheurs ont projeté cette lumière sur les grenouilles, leurs os se sont mis à briller !
Les UV ont éclairé les os de leur tête et de leur dos, où la peau est très fine. « Nous ne nous attendions pas du tout à ce qu’elles soient fluorescentes, a déclaré Sandra Goutte, l’auteure principale de l’étude. C’est la première fois que nous découvrons des grenouilles capables de briller ainsi. »
La chercheuse pense que cette caractéristique permet peut-être aux grenouilles de trouver un partenaire. Car contrairement aux humains, certains animaux peuvent voir la fluorescence sans être aidés de lumière UV. « C’est le cas de certaines espèces de perroquets et d’araignées, qui utilisent des couleurs fluorescentes », explique Sandra Goutte.
(D’après Ouest-France)
Un nouveau Léopard ! Oui, mais c’est un Gecko !
Ceci est un gecko léopard ! Une nouvelle espèce qui vient d’être enregistrée au Népal !
C’est la 11e espèce de lézard découverte au Népal et contrairement à ses cousins, ce gecko ne peut pas escalader les surfaces lisses.
(D’après Consoglobe.com)
L’armée népalaise pas vraiment convaincue (nous non plus)
Le 9 avril dernier en effectuant une ronde autour du camp de base de Makalu, un camp situé dans l’Himalaya, des soldats indiens sont tombés sur des traces de pas assez large.
Intrigués, ils ont alors pris des mesures et ils ont réalisé que les traces en question faisaient environ 80 centimètres de long pour 40 centimètres de large ( Ce qui ferait une créature de quelque 6 m de haut !!! C’est nous qui soulignons.).
NBC News a contacté le porte-parole de l’armée indienne pour obtenir un peu plus d’information sur ces traces. Ce dernier a alors confirmé les propos tenus sur Twitter, tout en précisant qu’une copie des photos avait été envoyée à plusieurs scientifiques locaux pour vérification.
La thèse du Yéti ne fait pas franchement l’unanimité
Ross Barnett, un paléogénéticien de l’Université de Copenhague, a ainsi eu l’occasion d’observer attentivement une photo de ces traces et il en a déduit pour sa part qu’elles appartenaient à un léopard des neiges ou à un ours brun, des animaux très communs dans la région. (Comment peut-on donner un tel avis à partir des photos en question ? Note de
C.)
De son côté, l’armée népalaise semble être elle aussi de cet avis. Interrogés par le Hindustian Times, des responsables ont ainsi réfuté les affirmations de l’armée indienne. Pour eux, ces empreintes n’ont rien d’étrange ou même d’insolite et elles sont en réalité très courantes dans la région. (Le fait qu’elles soient courantes ne veut pas dire qu’elles ne soient pas insolites pour autant. Note de C.)
Les locaux ont confirmé la chose à leur tour, en précisant que ces traces appartenaient sans doute (nous soulignons) à un ours sauvage vivant dans la région.
(D’après Fredzone.org)
Notre conclusion
Comme nous l’avons souligner plus haut les dimensions données par l’armée indienne nous semblent plutôt inhabituelles – même si l’on compte sur un effet de fonte partielle de la neige qui les aurait déformées – si on les compare aux empreintes déjà imposantes (46/23 cm) que nous avons nous-mêmes ramenées du Canada
Pour nous ni la découverte de l’armée indienne ni les avis des « experts » ne permettent de conclure dans un sens ou dans un autre.