Selon le site d’information 7sur7, dont l’info ci-après est reprise : un photographe a capturé la photo d’un loup en province d’Anvers (Belgique) : “Soudain, il était devant mon objectif”
Le loup qui a été repéré samedi à Duffel (province d’Anvers) s’y est promené la nuit dernière et encore aujourd’hui.
Plusieurs habitants et photographes animaliers ont pris l’animal en photo (on peut voir les vidéos sur le site 7sur7), parmi lesquels Jan Rottiers de Rijmenam, une commune située à environ 17 km de Duffel.
Avec un groupe d’observateurs d’oiseaux, il est arrivé à Duffel lundi soir vers 19 heures. “Pendant la journée, le loup est moins actif et vous avez moins de chance de l’apercevoir”, explique-t-il à Radio 2 Antwerpen. Effectivement, environ trois heures plus tard, sa patience était récompensée.
“Nous avions trouvé des traces et nous nous étions placés stratégiquement. Soudain, j’ai vu le loup sortir de la lisière de la forêt environ 50 mètres plus loin. Je n’ai pas eu beaucoup de temps pour prendre une belle photo”, raconte le photographe spécialisé dans les oiseaux et qui a partagé ses images dans un groupe Facebook dans lequel habituellement seules des photos d’oiseaux sont postées.
“J’étais heureux de faire une exception pour ce loup. C’est la première fois que je parviens à photographier un loup en Belgique, et dans ma propre région en plus. C’était un moment unique”.
D’après Jan Loos de l’association Welkom Wolf, il n’y a cependant aucune chance que le loup s’installe définitivement à Duffel.
Et comme une bonne nouvelle n’arrive jamais seule : carnet rose !
La louve Noëlla a mis bas
La louve Noëlla a mis bas, a confirmé dimanche la ministre flamande de l’Environnement Zuhal Demir sur la chaîne régionale TV Limburg. L’ampleur de sa portée n’est pas encore connue.
Noëlla et le loup August forment un couple établi dans le Limbourg. Ils se sont rencontrés rapidement, peu avant la période de reproduction en février.
Les loups se sont multipliés ces derniers mois en Belgique, aussi bien au nord qu’au sud de la frontière linguistique, avait souligné fin avril l’association Welkom Wolf.