Un « pigeon-faisan », espèce perdue par la communauté scientifique depuis 140 ans, a été filmé
Otidiphaps insularis n’avait pas été décrit par des scientifiques depuis la fin du 19e siècle. Cette documentation pourrait permettre de protéger davantage cette espèce particulièrement fragile.
Nessie, on n’a pas fini d’en parler
La découverte du siècle a-t-elle été faite par Eoin O’Faodhagain, un Ecossais de 58 ans qui clame avoir prouvé l’existence du monstre du Loch Ness en vidéo ? C’est en tout cas ce dont il est persuadé après avoir capturé les images d’une sorte d’ombre flottante d’environ trois mètres de long sur le Loch Ness et qui, selon lui, est bel et bien la fameuse Nessie. Il faut dire qu’Eoin O’Faodhagain est un habitué puisqu’il surveille régulièrement la surface de la célèbre étendue d’eau du nord de l’Ecosse via un système de webcam installé par la ville voisine d’Inverness qui lui a déjà permis de faire de multiples entrées dans le livre dédié aux observations du monstre du Loch Ness, l’Official Loch Ness Monster Sightings Register. Comme il l’a rapporté au Mirror, le chasseur de Nessie a « remarqué une éclaboussure puis un mouvement sur l’écran qui venait de la droit, et une forme noire, longue et allongée ».
Loin de penser à un débris quelconque ou une planche en bois, c’est directement vers la créature fantastique que s’est dirigé l’esprit d’Eoin O’Faodhagain, qui a expliqué : « Ça a attiré mon attention parce que ça restait à la surface de l’eau, en bougeant très lentement, pas du tout comme un poisson qui sauterait hors de l’eau et qui y replongerait ensuite. Ce n’était pas un poisson ni une grosse bûche, ça bougeait à une vitesse constante, doucement, alors qu’une bûche suivrait simplement le courant ».
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Groenland : Une nouvelle population d’ours polaires fonctionnant différemment des autres a été découverte
La fonte rapide de la banquise dans l’Arctique représente une grave menace pour la survie des ours polaires. Mais des scientifiques ont récemment identifié une nouvelle population d’ours dans le sud-est du Groenland, qui utilisent les blocs de glace détachés pour circuler.
Leur découverte est décrite dans une étude publiée jeudi dans la revue Science. Elle ouvre la possibilité qu’au moins quelques représentants de cette espèce puissent survivre durant le XXIe siècle, sachant que la banquise de l’Arctique finira par complètement disparaître en été.
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