En matière de Cryptozoologie, toute assertion relative à ce domaine se doit de tenir compte des règles suivantes :
Le principe de Sagan
https://fr.wikipedia.org/wiki/Principe_de_Sagan
Surtout en cryptozoologie spéciale ou profonde, où, pour prouver quelque chose, avec la certitude d’une reconnaissance de la validité de la preuve apportée, il faut vraiment présenter du très solide, et même du bien plus solide que ce qui serait suffisant pour de la Cryptozoologie classique dite aussi zoologie.
La loi de Brandolini
https://fr.wikipedia.org/wiki/Loi_de_Brandolini
Tout un fatras de supposées « preuves », indirectes, incertaines, douteuses, ambiguës, objectables, et j’en passe, cela finit par être contre-productif, obtenant ainsi l’effet contraire à celui visé (une reconnaissance officielle), par désintérêt des scientifiques ne voulant pas perdre leur temps (et leur réputation) à démonter toutes ces « preuves » bancales et parfois contradictoires, qui s’accumulent en toujours plus grand nombre.
En matière de preuve scientifique, il semble évident que, saufs exceptions restant à déterminer, la qualité aura toujours plus de valeur que la quantité.
Le rasoir de Hitchens
https://fr.wikipedia.org/wiki/Rasoir_de_Hitchens
C’est aux cryptozoologistes d’apporter des preuves irréfutables et univoques (et j’insiste sur le terme « univoques »), pour faire reconnaître leurs assertions, et non pas aux opposants de s’épuiser à devoir prouver la non recevabilité de ce que ces cryptozoologistes avancent.