Voici ce que j’ai trouvé dans plusieurs journaux :
« Expedition Bigfoot » : l’ADN d’un primate inconnu découvert dans le Kentucky
« L’équipe de la série Expedition Bigfoot assure avoir mis au jour dans les Appalaches l’ADN d’un primate non répertorié. Pourrait-il s’agir de la première preuve de l’existence de la mythique créature anthropoïde ?
Il est peu fréquent qu’une émission de télévision partie sur les traces d’une créature mythique comme le Bigfoot ou le monstre du Loch Ness revienne avec des éléments tangibles. Pourtant, il se pourrait que la série documentaire Expedition Bigfoot constitue l’exception à la règle. Du moins si l’on en croit le communiqué enthousiaste de la chaîne : «Pendant ce tournage au coeur de la nature sauvage des Appalaches, au Kentucky, de l’ADN collecté dans le sol sous une structure arborescente découverte par les Dr Mayor et LeBlanc a livré des résultats aussi surprenants que passionnants. L’ADN environnemental (ADNe) est le matériel génétique laissé naturellement par les animaux. L’analyse scientifique de ces échantillons offre un instantané de toutes les créatures vivantes évoluant dans un lieu donné. Cet outil révolutionnaire est de plus en plus utilisé pour confirmer la présence d’animaux insaisissables.»
Et l’article de préciser plus loin :
« Et, après analyse des échantillons prélevés, l’équipe d’Expedition Bigfoot assure avoir touché le gros lot. La généticienne Miroslava Munguia Ramos, de l’université d’UCLA fait part de ses premières observations : «Ce que j’ai trouvé est très intéressant. Oui, nous avons détecté de l’ADN humain dans ces zones, mais nous voyons aussi l’ADN d’un primate différent, un ADN proche du chimpanzé commun qui n’est pas censé habiter dans les Appalaches… C’est un véritable casse-tête.»
« Un ADN proche du chimpanzé », voilà qui est intrigant car le Bigfoot n’a rien d’un chimpanzé.
Et l’article de conclure :
Simple teaser destiné à faire le buzz ou véritable découverte ? On en saura sans-doute plus après la diffusion de l’épisode aux Etats-Unis le 28 mars…
Est-ce qu’on se retrouverait ici devant une nouvelle affaire Melba S. Ketchum qui en 2012 avait annoncé que son labo la DNA Diagnostics, Inc, avec l’aide d’une équipe d’experts, avait séquencé des échantillons d’ADN de Bigfoot à partir de l’analyse de 3 génomes (!) complets ? Beaucoup de zones d’ombre entourent cette prétendue étude de Ketchum, notamment sur l’origine des échantillons, leur mode de prélèvement, etc… C’est résultats n’ont de plus jamais fait l’objet d’une publication officielle dans une revue à comité de lecture.
Est-on ici devant un nouveau pétard mouillé ? Je peux me tromper, mais c’est à craindre.
(Pour retrouver l’article complet de Paris-Match )
Oklahoma: une récompense de 2,1 M$ pour capturer Bigfoot
Voilà une info bien plus inquiétante que la précédente, trouvée dans le Journal de Montréal :
L’Oklahoma compte sur Bigfoot pour ramener les touristes dans l’État, en proposant une récompense de 2,1 M$ pour la capture de la créature mythique.
Mais pour avoir le privilège de se lancer sur les traces du célèbre Bigfoot, les touristes devront avant tout acheter un permis de «chasse», qui sera vendu dans plusieurs entreprises locales.
«Les responsables du tourisme de l’État développent actuellement une campagne promotionnelle Bigfoot, qui comprend des plaques d’immatriculation, des décalcomanies, un permis de traque annuel commémoratif et des “postes de contrôle Bigfoot”», a précisé jeudi l’antenne locale de la chaîne de télévision CBS.
La création d’une saison de chasse de la bête imaginaire a été proposée en janvier dernier par le représentant républicain Justin Humphrey, avait alors rapporté le New York Post.
La prime de capture a tout d’abord été fixée à 25 000$, avant d’être considérablement augmentée cette semaine.
L’objectif de ce projet de loi est d’offrir «des divertissements sûrs et abordables» aux touristes, a avancé M. Humphrey.
Les profits de la vente des permis seront reversés aux communautés locales.
L’Oklahoma n’est pas le seul État à avoir légiféré sur la créature poilue. En 2012, la Texas Parks and Wildlife Comission a établi que la chasse au Bigfoot était légale, pourvu qu’elle soit faite sur une propriété privée.
Un poisson d’une espèce que l’on pensait éteinte, retrouvé dans un lac
Les scientifiques, avec les nombreux bouleversements climatiques et environnementaux que connaissait notre planète depuis quelques décennies maintenant, avaient lancé l’alarme sur l’extinction de certaines espèces fauniques et floristiques. Selon l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN), l’autorité mondiale sur l’état de conservation des espèces, la dernière décennie a vu 467 espèces déclarées éteintes, quand d’autres voient de sérieuses baisses de leur population. Récemment cependant, la redécouverte d’une espèce de poisson disparue, redonnait espoir aux scientifiques.
Une espèce de goujon revient de l’extinction
Le poisson, l’un des petits goujons tachetés pourpres, a été déclaré éteint en Australie en 1998. Mais en Octobre 2019, certaines espèces ont été trouvées dans un lac près de Kerang, une ville du nord de l’État de Victoria, toujours en Australie. Cette espèce très rare de goujon , avait été retrouvée au cours de travaux de recherches dans le lac.
Les travaux au lac ont été immédiatement arrêtés, rapportent les autorités, pour prendre des photos du poisson et extraire un petit échantillon d’ADN.
Les tests ensuite avaient été positifs et l’espèce confirmée. Il s’agissait bien d’un poisson de l’espèce Gobio Gobio pourpre irisée
Au total ce serait 79 individus qui avaient été redécouverts dans le Lac. Le goujon mesure jusqu’à 15 cm et peut peser environ 50 grammes. Selon les experts, le goujon est un « poisson fouilleur », parce qu’il recherche sa nourriture en fouillant dans le sable. Vers de vase, vers de terre, petits mollusques et larves d’insectes, forment l’essentiel de son régime alimentaire.
(Voir l’article au complet dans La Nouvelle Tribune )
Que sait-on vraiment du monstre du loch Ness ?
Un article dans DailyGeek show qui résume brièvement le dossier, mais où on n’apprend rien de nouveau.