Un coquillage californien disparu…bien vivant !
En novembre 2018, l’écologiste marin Jeff Goddard se trouvait sur une plage près de Santa Barbara, en Californie, à la recherche de limaces de mer dans certaines mares. Vétéran de son métier, Goddard a étudié les habitats intertidaux de la Californie pendant des décennies – il semblait que rien ne pouvait le surprendre. De toute évidence, il avait tort.
Là, dans l’eau, il a découvert une paire de minuscules palourdes translucides. “Leurs coquilles ne mesuraient que 10 millimètres de long”, a déclaré Goddard, chercheur associé à l’Institut des sciences marines de l’UC Santa Barbara, dans une déclaration. “Mais quand ils se sont étendus et ont commencé à agiter un pied à rayures blanches brillantes plus long que leur coquille, j’ai réalisé que je n’avais jamais vu cette espèce auparavant.”
Goddard a pris plusieurs photos en gros plan et les a envoyées à Paul Valentich-Scott, un ancien conservateur de malacologie au Musée d’histoire naturelle de Santa Barbara.
Malheureusement, les photos ne suffisaient pas à Valentich-Scott pour déterminer avec précision les espèces de palourdes – il avait besoin de les voir en personne.
Goddard a effectué neuf autres voyages, dans l’espoir de tomber à nouveau sur le mystérieux mollusque. C’est lors du dernier de ces voyages, sur le point d’abandonner, qu’il a finalement trouvé sa palourde – un seul spécimen sur le dessous d’un rocher à côté de quelques limaces de mer et d’un chiton.
Les deux chercheurs se sont penchés sur une curieuse référence à une espèce fossile dans un article de 1937, Biscuits de Bornia, qui partageait un certain nombre de similitudes avec le spécimen de Goddard.
Valentich-Scott a demandé le “spécimen type”, un fossile qui sert à définir une espèce, au Natural History Museum du comté de Los Angeles pour confirmer cette suspicion.
B. Cymatioa était présumée éteinte depuis des dizaines de milliers d’années, entre 28 000 et 36 000 ans.
Valentich-Scott, quant à lui, est parvenu à sa conclusion : le spécimen vivant et le spécimen type fossile étaient, en fait… la même espèce !
Voilà un bel exemple de crypto-entomologie !
(D’après F.Techtribune.net )
Des animaux marins étranges jamais vus auparavant découverts au fond de l’océan
Une équipe de scientifiques du Museums Victoria Research Institute a découvert une collection de créatures marines, dont certaines n’avaient jamais été vues auparavant alors que le groupe de chercheurs cartographiait une zone reculée du Parque Marino des Îles Cocos au large de la côte ouest de l’Australie.
La découverte la plus remarquable est une anguille aveugle, à plus de cinq kilomètres de profondeur. C’est une espèce jusqu’alors inconnue qui a la peau gélatineuse et les yeux peu développés. Une autre de ses particularités est qu’elle donne naissance à des jeunes vivants.
D’autres espèces potentiellement inconnues et d’autres déjà identifiées ont également été trouvées, toutes avec des caractéristiques très étranges.
Par exemple, un poisson chauve-souris qui a une expression unique sur son visage ; la poisson vipère de Sloane, qui possède des organes lumineux qui attirent leurs proies dans l’obscurité des profondeurs ; ou le poisson lézard à hautes nageoires, une espèce hermaphrodite.
(D’après NewsDay.FR )
Un puma rôde-t-il dans les forêts de Haute-Loire ?
Les signalements de grands félins se multiplient dans le département avec des témoins visuels et plusieurs expertises qui tendent à valider sa présence, notamment dans le Gévaudan. Mais pas que…
Alors qu’on parle bien souvent de la présence du loup sur le territoire, une autre bête du Gévaudan pourrait bien rôder dans les parages…
Les témoignages attestant de la présence du lion de montagne se multiplient en Haute-Loire et dans les départements voisins. Le dernier témoignage date de seulement quelques mois. Un puma aurait été aperçu, en plein cœur de la haute vallée de la Loire sur la commune de Solignac-sur-Loire.
Un étrange animal s’échoue sur une plage
Le corps d’une créature inconnue avec un long cou et une petite tête, ressemblant étrangement à un plésiosaure – ou au mythique monstre du Loch Ness – a été trouvé sur une plage en Géorgie, aux États-Unis. Pour les spécialistes, il pourrait en fait s’agir d’un cadavre de requin décomposé.
Dan Ashe, directeur du Fish and Wildlife Service des États-Unis, note en revanche que les animaux marins se décomposent souvent de cette manière, ressemblant à un plésiosaure avec un long cou et une petite tête. Plus précisément, il suggère qu’il s’agit ici un requin-pèlerin, le plus grand poisson du monde après le requin-baleine, et le plus grand poisson de l’Atlantique nord. Celui-ci peut atteindre 12 mètres de long pour un poids d’au moins 4 tonnes.
Bernard Heuvelmans l’avait déjà noté dans son ouvrage « Le grand-serpent-de-mer : le problème zoologique et sa solution » (Plon, 1965. Rééd. 1975).
(D’après Science Post)