Un poumon caché dans son organe de flottabilité. Voilà donc la dernière surprise que le cœlacanthe a réservé aux scientifiques. Une équipe franco-brésilienne a publié dans Nature Communications, mardi 15 septembre, une vaste étude qui conclut que l’impressionnant animal des grands fonds conserve un vestige de cet organe respiratoire, habituellement absent chez les poissons. Mieux : par l’étude de spécimens à différents stades du développement embryonnaire et la comparaison avec de très anciens fossiles, elle est parvenue à reconstruire l’évolution de cet incroyable animal.
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